La poesie 2/2

Publié le par Laura Wendling

Le thème aborder dans ce recueil  est connu de tous « la mort »certainement un des moins  plaisant a traité mais qui est pourtant fascinant, elle nous obsède depuis la nuit des temps. Avec l’âge  et le temps qui fil a toute allure cela nous préoccupe de plus en plus toutefois il n’existe pas de définition concrète pour designer un état que personne n’a jamais éprouvé puisque personne n’a jamais eu l’occasion de dire « je suis mort », donc on ne peut pas en parler en connaissance de cause étant donné qu’on en a aucune expérience. Néanmoins on peut faire des hypothèses comme pensée que la vie n’a pas de fin donc un perpétuelle recommencement tous ce qui meurt un jour renait dans un n’autre endroit ou dans un autre espace temps sous une différente forcimetiere.jpgme par conséquent cela nous amène a pensée que la vie est synonyme d’immortalité pour le moment on ne peut que spéculé sur la question.

 

        Les représentation s et les visions sur le thème de la mort les poètes les transmettent à travers des images métaphoriques  et différente allégorie .Grace à leur génie de l’interprétation du monde, ils réussissent à créer des œuvres immortels qui perdent la notion d’espace temps en dépit du thème choisie, ce qui suscite l’admiration des lecteurs. Une sagesse sans limite, du mysticisme, une  pensée profonde : c’est ce qu’on peu trouver dans ces poèmes. Dans son œuvre tout poète s’intéresse aux thèmes de la vie et de la mort. Les poètes tentent  de déchiffre et de saisir  le monde qui les entours afin d’accéder  au secret de l’hypothétique immortalité.

         Si on part du principe que la mort existe justement pour qu’on puisse apprécier la vie ,a moins que la mort ne soit qu’un autre commencement qu’on est peur d’affronter quand il frappe a la porte .Mais cela impliquerait en effet l’absurdité qui consiste a vouloir qu’un genre d’existence qui commence n’ait pas de fin .La mort est un état tellement naturel qui au final nous convient autant que le fait de vivre, néanmoins doit ton redouter  le moment de la transition car il y en a bien une certainement… tel que nous le fait comprendre Jean Lorrain dans son poème « l’Etang mort » l’Etang est personnifier pour accentuer le fait que c’est « lui » qui nous accompagne vers cette dernier étape.    Et si la mort mettait fin a notre vie et non pas a notre existence, on pourrait croire que la vie est un roman auquel manque la suite, d’autant plus que parfois elle s’interrompt souvent au milieu du texte. 

       En poésie la mort peut prendre n’importe quelle aspect et s’exprime sous toutes ses formes .C’est peut être comme cela que le poète prend conscience qu’a un moment ou a n’autre il devra l’affronter sous n’importe quelle visage que ce soit et c’est bien cela qu’a compris Théophile Gautier des les premier vers de son poème « La mort est multiforme ».  Avoir peur de la mort c’est absurde n’est ce pas ? Etre terrifier par l’inconnu, mais pourquoi ? Si on ne sait pas ce qui va nous arriver alors pourquoi en avoir peur ? Certainement le fait de ne pas savoir, de ne pas pouvoir contrôler la suite des événements ou parfois précipité les choses vouloir découvrir ou bien se libérer ; mais alors comment sait-on que la mort

est une libération si justement on sait rien d’elle !? Jusqu'à présent personnoiseau.jpge n’est revenu d’entre les mort pour nous expliquer les étapes à suivre, c’est sur cela doit paraitre ironique d’avoir un manuel « Comment être un bon mort » par contre Maurice Rollinat nous a fait un poème « Le mauvais mort » qui justement nous montre un autre aspect de la mort. Déjà qu’être un bon vivant c’est pas de tout repos tout les jours alors si même dans la mort il faut faire des efforts, tout de suite cela rend la chose moins attirante. Que peut-on faire une fois mort ? Et que notre état nous déplait, pour cité George Duhamel «Les morts n'ont pas de voix, heureusement. Si les morts pouvaient se plaindre, quel cri, quelle clameur. On ne s'entendrait plus vivre.» on dit que ce qui sont à plaindre c’est ceux qui reste. Selon Albert Babinot notre âme après la mort va retourner dans une autre enveloppe c’est ce qu’il nous explique dans les vers de « Ne regretter point les mors ». 

        Vouloir mourir c’est égoïste, vous ne trouvez pas ? Il y a justement beaucoup de poètes qui ont joué avec des formes de suicide : alcool, drogue …. Le fait d’ironisé la mort cela permet sens doute de ne plus en avoir peur ; mais quand on passe de vie a trépas ; On ne pense pas au gens qu’on laisse, aux personnes pour qui notre existence a une grande importance, qui viendront pleurer sur «Celle dont la dépouille en ce marbre est enclose » (vers du poème « Sur un tombeau » de François Tristan L’Hermite). Le plus affreux pour nous c’est de perdre un être cher à notre cœur, notre enfant ,notre femme ,nos parents ,nos amis et les poètes le comprennent mieux que personne le poème de Victor Hugo «  A la mère de l’enfant mort » nous le montre si bien ,on ressent une grande tendresse dans ses mots ,une compassion  telle qu’on a les larmes au yeux en lisant ce poème . Pour certain poète comme Abraham de Vermeil la mort « ce n’est pas le trépas c’est un très doux sommeil »(extrait du poème du même nom ).

Pour d’autre l’amour et la mort sont étroitement liés on vit pour aimer et mourir et on meurt en sachant qu’un jour on a aimée et qu’on a été aimé : « Si le besoin d’aimer vous caresse et vous mord , Amants c’est que déjà plane sur vous la mort » (« La mort » de Anatole France )ou bien on peut aussi cité les vers de François Verville « Amour qui m'a frappé de ses traits les plus forts Pour main-dans-la-main-copie-1.jpgtriompher de moi, a mon âme ravie. . Le poète quand il voit la mort en face de lui a-t-il conscience que sont heure est venu ? « Je vais mourir, je vais bientôt mourir » sont les premier vers du poème les « Dernières paroles du poète » de Charles Guérin , le sentiment que l’heure du défunt est proche ,qu’il est condamné a devenir un corps inanimé rendu a la nature est éprouver avant que la mort ne fasse sont travaille .

         Tous les auteurs cités avant et leurs poèmes sont présent dans ce recueil dans le même ordre afin de mieux comprendre les phases de la mort et je dirais même que ces poèmes sont très complémentaire car on aperçoit ici différent point de vue de trois siècles avec des poètes célèbres et notamment un poète pas comme les autre un certain Albert Babinot qui était un apôtre qui a laissé derrière lui un livres de poème chrétien.

          Le titre de ce recueil se trouve enfin justifier « L'absence de corps physique et l'impossibilité de communiquer avec ceux qui en ont un. Ou  L'état dont on ne revient pas.  »  grâce a tout les poèmes, c’est une définition philosophique de la mort matériel et spirituel qui jusqu'à présent n’a pas encore de définition scientifique complète. A présent, je vous laisse vous fier aux mots car en poésie les mots sont vivants, autonomes. Si on leur laisse suffisamment de liberté, ils s’arrangeront pour assembler en phrase et exprimer des choses dont l’homme n’a pas conscience.

FLECHE 2

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